Trees Speak est composé de Daniel Martin Diaz et Damian Diaz, originaires de Tucson, en Arizona. Leur musique s’inspire souvent de la magie cosmique nocturne des paysages désertiques naturels de l’Arizona. Trees Speak est lié à l’idée que les technologies futures stockent des informations et des données dans les arbres et les plantes – en les utilisant comme des disques durs – et que ces derniers communiquent collectivement.

Le nouvel album de Trees Speak, « PostHuman », mélange une fois de plus les instruments électroniques et « motorik » du Krautrock allemand des années 1970 (pensez à Harmonia, Can, Cluster, Popul Vuh, Neu ! ), des bandes sonores obsédantes et puissantes des années 1960 et 1970 (pensez au prog-rock italien Goblin et aux films d’horreur de John Carpenter, à Morricone et aux films d’espionnage existentiels de John Barry), ainsi qu’un bricolage électronique no wave new-yorkais à base de synthétiseurs et de guitares analogiques (pensez à Suicide, à tout ce qui figure dans la série New York Noise de Soul Jazz ou au New York No Wave d’Eno) !