Sur seulement deux singles auto-diffusés – ‘I’m On Top’ et l’obsédant ‘One Of The Girls’ – Otha a fait une introduction immédiate et immersive sur le devant de la scène obtenant rapidement l’appui de Pitchfork, de Gorilla vs Bear, du Sunday Times et du Guardian.

Née et élevée sur la côte ouest de la Norvège, Othalie a commencé à collaborer avec son petit ami (et son mari maintenant) Tyler, basé à Vancouver. Jonglant entre un diplôme en économie et le besoin de créer des beats entrainants – et une relation à distance !-, le son d’Otha semble s’inspirer d’une riche veine de pop scandinave («Je ne sais pas combien de fois j’ai écouté ‘Body Talk ‘: c’est l’album ultime et ne contient que des chansons démentes ») autant que des éléments de shoegaze, disco, new wave et rave.

Pitchfork «  One of the girls est un hymne du dance floor qui ne vous laissera jamais sur votre faim. »

English

On just two self-released singles – ‘I’m On Top’, and the haunting, hedonistic-house of ‘One Of The Girls’ – Otha made an immediate, immersive introduction in 2018, gaining early support from Pitchfork, Gorilla vs Bear, The Sunday Times and The Guardian.
Born and raised on the west coast of Norway, Othalie started collaborating with her boyfriend (and now hubby) Tyler, who was based out of Vancouver. Juggling a degree in economics with the challenge of making beats – and a relationship – work long-distance, Otha’s sound seems to draws on a rich vein of Scandinavian pop (“I don’t know how many times I’ve listened to ‘Body Talk’: it’s the ultimate album, and only contains bangers”) as much as it does elements of shoegaze, disco, new wave and rave.