Miss Universe, le premier album de Nilüfer Yanya  sorti en 2019, a été enregistré au Penzance studio avec ses comparses de live Jazzi Bobbi et Luke Bower et produit par John Congleton, Oli Barton-Wood, Will Archer M.T. Hadley.

Forte d’un accueil médiatique unanime après la sortie de son premier EP (Nova, Fip, Les Inrocks, Pitchfork, Libération, New York Times…), un brillant avenir musical s’ouvre désormais à la auteure-compositrice. Habituée de la scène, l’arrivée Miss Universe s’accompagne idéalement d’une impressionnante tournée pour Nilüfer. Après avoir ouvert pour des groupes de renom tels que The XX ou encore Interpol, c’est désormais Sharon Von Etten qui lui offre les honneurs des premières parties de sa tournée américaine.
Découverte à 18 ans à peine par le célèbre label londonien Blue Flowers, c’est désormais épaulée du label New Yorkais ATO que Nilüfer Yanya s’aprête  à offrir ses melodies pop infusées de jazz à la face du monde.

En septembre 2021 elle sort inside out et annonce déjà un troisième album pour mars 2022 Painless.

English

A stolen bike. A golden cage. The coral reef where a lonely flower shop employee swims away her woes. Nilüfer Yanya has always begun tracks with intriguing mental images like these, letting her imagination run away till a hazy, dream-like story surfaces and a sparse, arresting song is born. “All my favourite music is elusive like that,” explains the hotly tipped 22-year-old, who is from West London but has Turkish, Irish and Bajan heritage. “I like songs that have stories and situations that you can almost catch, but you can’t quite ever catch properly. It’s more a vibe… a feeling.”