Jane Remover est en quelque sorte une légende d’internet. Iel est crédité·e d’avoir joué un rôle clé dans la création du microgenre musical digicore, un parent surstimulé de l’hyperpop. En réalité, tout ce que fait Jane Remover est une overdose de stimuli : ses chansons ressemblent au diable de Tasmanie des Looney Tunes. Un tourbillon de pop digitale déformée et excessive.