Hooton Tennis Club, ce sont quatre amis de Liverpool (Hal, Haz, J. Dean et Uncle Ry) , qui après seulement quelques concerts en poche, viennent de signer chez Heavenly Recordings. Leur premier single Jasper est sorti le 23 février 2015.Une mélodie un brin mélancolique. Une voix nonchalante, dans la pure tradition de la Britpop. Une rythmique dépouillée et fraîche, pimentée par des riffs et des solos de guitares harmonieux.L’anecdote veut que le morceau ait été enregistré dans la cuisine de leur producteur Bill Ryder-Jones (The Coral). C’est peut être cela qui confère au titre ce dépouillement séduisant. (INDIE LANE)

HOOTON TENNIS CLUB confirme sa belle montée en puissance avec la sortie de leur tout premier album Highest Point In Cliff Town sur Heavenly Recordings à l’été 2015. Enregistré et produit par Bill Ryder Jones au Parr Street Studios de Liverpool, ce disque de 12 titres transpire les riffs de guitare à la californienne rappelant les étés ensoleillés et les soirées finissant à l’aube. Les 4 garçons de HOOTON TENNIS CLUB ont composé cet album avec la ferme intention de transmettre leur passion pour les belles histoires et leur amour inconditionné pour la pop. Mission accomplie ! On se laisse emporter par leur spontanéité et les envolées poétiques omniprésentes dans ces 12 morceaux.

Leur prochain album Big Box Of Chocolates sortira le 21 octobre 2016.

English

Formed in Ellesmere Port in Cheshire in 2013, musically, their inspirations range from Big Star to Can while elsewhere; they’re influenced by authors who deliver a ‘down and out skewed view of the world’ like Kurt Vonnegut, Hermann Hesse, Henry Miller.

If their debut album, Highest Point In Cliff Town, released in August last year, was the band’s sprightly statement of intent, Big Box of Chocolates may well be their coming-of-age: a record that retains all the colour and invention of their debut, while being  elevated by richer instrumentation and lyrics that hint at slightly heavier themes: love and loss, nihilism and the ‘non-spaces’ of Northern England, all delivered in the band’s typically laconic, bittersweet style, like a Mersey Beat Murakami.